Articles

Affichage des articles associés au libellé Criminalité

Des rires aux larmes, des larmes aux rires !

Image
Bonjour les Êtres humains ! Hier nuit, en rentrant chez moi après avoir passée une bonne partie de la soirée avec mes deux plus anciens amis, mes frères dirai-je, Gildas EYI et Fabrice NDONG , je suis tombé sur une scène qui n’a pas manqué d’attirer mon attention.   A quelques dizaines de dizaines de mètres de mon domicile, à l’endroit dénommé « petit marché d’Alalango », au quartier Derrière l’Ecole Normale de Libreville ( que je présentais récemment dans l'article suivant ), au GABON, je rencontre deux adolescents qui exécutent une chorégraphie de danse, communément appelé ici « balai », en plein milieu de la route. Près d’eux, devant un débit de boisson au crépissage des murs à peine achevé, deux autres ados les encouragent et une jeune femme, sans doute la gérante du bistrot, admire le spectacle.  Quand je suis à quelques pas d’eux, l’un des deux danseurs demande à la jeune femme d’arrêter la musique. « Moi, je rentre chez moi » dit un autre. A quelque

Criminalités diversifiées en État policier

Image
Bonjour les Êtres humains ! Avant tout, il faut que je vous fasse une confidence : je n’aime pas les forces de l’ordre ! Je ne sais pas pourquoi, mais c’est comme ça depuis ma plus tendre enfance, je ne me suis jamais senti à l’aise en présence d’un homme en uniforme vert. Je crois que le coup de matraque que l’un d’eux m’assena sur le crâne lorsque j’étais au lycée, me confondant à des étudiants qui manifestaient pour leurs bourses, n’a pas été pour améliorer mon rapport avec ces hommes. Ceci dit, je tente toujours de me tenir le plus loin possible des endroits où je suis sûr de les rencontrer : commissariats, gendarmeries, casernes, camps, etc. Mais depuis que je suis arrivé à Libreville, j’ai bien l’impression que ce procédé d’éloignement n’est plus suffisant. Je vous explique : dès la nuit de mon arrivée à l’aéroport de Libreville, j’étais déjà très surpris du nombre de véhicules blindés en stationnement dans quelques coins de la ville, tout au long du trajet vers la maison fa