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Affichage des articles du mars, 2015

"Demandez et l’on vous donnera " Oui, mais à qui ? Et pourquoi ?

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Bonjour les Êtres humains ! Aujourd’hui, je vais vous révéler un petit secret sur moi : J’ai été un vrai villageois. Pas dans le sens que l’entendent ceux qui le disent comme une insulte. Villageois dans le sens que j’ai grandi au village. En effet, j’ai vécu de ma première à ma cinquième année d’existence à Effak Bibègne, un grand village à environ sept kilomètres de Bitam, la seconde ville du Woleu-Ntem, province septentrionale du Gabon. C’était vraiment un autre monde ! En faisant une comparaison avec les autres étapes de ma vie, j’ai fini par faire un constat stupéfiant : il n’y a pas de mendiants au village ! J’ai beau fouiller dans les tréfonds de ma mémoire, en revoyant tous les villages que j’ai visité : d’Effack Bibègne, chez ma mère, à Adzap, le village de mon père, ou encore dans les autres multitudes de villages où on allait voir, ici, la sœur de la grand-mère, là, l’arrière-grand-mère, là encore, les cousins très éloignés de la famille, je ne me souviens pas avo

#LiberezMkhaïtir !!!

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Après avoir lu cet article, j'ai eu envie d'insulter, d'injurier, de pestiférer, de..., de... Mais je n'ai pu que me calmer et juste vous demandez, à vous qui dictez les règles de ce monde, vous qui êtes défenseurs de tous les droits, même les moins acceptés, vous qui avez le pouvoir de changer les choses par la force ou par la parole: faites quelque chose pour faire libérer ce jeune frère, le blogueur mauritanien  Mohamed Cheikh ould Mohamed Mkhaïtir condamné à mort pour apostasie! De grâce!  Lisez et commentez:  Afrique: Reporters sans frontières (RSF) et 23 organisations demandent la libération d'un blogueur mauritanien condamné à mort pour apostasie. J'espère que ceux qui, il y a deux mois encore, étaient tous Charlie, se lèveront aussi pour faire #LiberezMkhaïtir !!!

Un tour dans les transports en commun de Dakar

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Bonjour les êtres humains ! Il y a des choses si simples et si banales dans la vie courante qu’on n’y prête pas souvent assez attention. Pourtant, elles peuvent révéler une multitude de penchants de la nature humaine et du grand éventail de sentiments par lesquels nous pouvons passer, de la générosité à la colère, en passant par l’amour et la haine. C’est le cas des courts voyages que nous effectuons chaque jour, dans les transports en commun. Ces relations souvent fugaces, parfois prolongées, que vivent les Africains dans leurs déplacements quotidiens, que ce soit en cars, en bus, en taxis ou même à motos… je parle de celles que l’on vit dans les taxis-bus et les clandos de Libreville, les Sotrama de Bamako, les Rapid, les Ndjarandjaye, les Tata et les Dem-Dik de Dakar. Je parlerai surtout des transports en commun sénégalais, parce que c’est là ou je vis actuellement et qu’ayant quitté les autres capitales citées plus haut depuis un certain temps, je ne peux me baser que sur me