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Affichage des articles du 2017

Protégeons nos enfants envers et contre tout !

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Bonjour les Êtres humains ! Tous mes proches me connaissent généralement comme quelqu’un de peu loquace. C’est vrais que depuis que je suis enfant, j’ai assez de mal à trop m’exprimer. Ce qui fait que le plus souvent, je peux donner mon opinion en quelques mots et, plus tard, plusieurs heures durant, je n’arrête pas de penser à tout ce que j’aurais pu ajouter qui aurait plus facilement été adopté par mon (mes) interlocuteur (s). C’est exactement ce qui m’est arrivé dans la nuit de ce jeudi 14 décembre.   Je m’apprêtais à me coucher lorsque mon téléphone s’est mis à sonner. Je sors de la douche et vais répondre. Je discute environ cinq minutes avec un ami des mariages auxquels nous devons assister le samedi suivant, malgré des éclats de voix venant de dehors. A la fin de la conversation, je perçois beaucoup mieux le bruit qui m’empêchait de bien entendre la voix en ligne : ce sont des pleurs, vraisemblablement, d’enfants. J’arrête la musique et tend bien l’oreille. Ef

Des rires aux larmes, des larmes aux rires !

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Bonjour les Êtres humains ! Hier nuit, en rentrant chez moi après avoir passée une bonne partie de la soirée avec mes deux plus anciens amis, mes frères dirai-je, Gildas EYI et Fabrice NDONG , je suis tombé sur une scène qui n’a pas manqué d’attirer mon attention.   A quelques dizaines de dizaines de mètres de mon domicile, à l’endroit dénommé « petit marché d’Alalango », au quartier Derrière l’Ecole Normale de Libreville ( que je présentais récemment dans l'article suivant ), au GABON, je rencontre deux adolescents qui exécutent une chorégraphie de danse, communément appelé ici « balai », en plein milieu de la route. Près d’eux, devant un débit de boisson au crépissage des murs à peine achevé, deux autres ados les encouragent et une jeune femme, sans doute la gérante du bistrot, admire le spectacle.  Quand je suis à quelques pas d’eux, l’un des deux danseurs demande à la jeune femme d’arrêter la musique. « Moi, je rentre chez moi » dit un autre. A quelque

Fêtes des cultures de Libreville : un œil sur les Arts plastiques

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Il y a de cela quelques années déjà, lorsqu’il était maire de Libreville, l’ancien ministre, ancien opposant candidat à la présidentielle et accessoirement homme de Dieu, M. Paul MBA ABESSOLO, lançait les Fêtes des cultures de Libreville . C’était une sorte de grand festival des cultures locales, qui rassemblait un peu partout dans la capitale, toutes les ethnies du pays, rivalisant de talents pour obtenir le titre des plus belles expressions culturelles de l’année.  Je me rappelle de ces premières éditions qui mettaient toute la ville en effervescence pendant tout le déroulement des festivités. Les gens n’avaient qu’un même programme : vaquer à leurs occupations le plus tôt dans la journée pour se libérer et aller traîner toute la soirée et au de-là dans les Jardins de la Peyrie, entre autres, à admirer les nombreux groupes de danses traditionnelles venus des profondeurs de l’arrière-pays ; écouter les interminables chants des conteurs de M’Vett, déguster une myriade de plats tr